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Récits érotiques

Je vous présente mon blog "La vie est un jeu", où je mettrai à votre disposition mes écrits érotiques ! Depuis pas mal de temps, j'écris des textes et je peux dire avec certitude que je me suis spécialisée dans la littérature érotique ! J'aime écrire ce genre de texte et j'aime que cela vous émoustille autant que moi ! Le principe de mon blog Je suis d'avis que les récits érotiques sont des fantasmes purs et simples, et que je peux donc raconter ce qu'il me chante ! Qui pourrait dire le contraire ? Le fait d'écrire une fiction est déjà inventer des situations, alors écrire une fiction érotique n'est pas différent. Je me penche alors sur mes fantasmes et j'écris...vous trouverez certainement beaucoup d'histoires incestueuses et gays pour le moment (c'est ma tendance du moment XD). J'écris des nouvelles, des romans et des one-shot; j'espère que tout cela vous plaira autant qu'à moi. Sur ce, je vous souhaite : Bonne lectu...

6. Jouissances intenses

Alphonse, mon clébard de frère Lorsque je me réveille, je m'étonne durant deux secondes que le plafond ait changé. Puis je me souviens que je ne suis pas dans mon appartement, je suis dans ma chambre d'adolescent, chez mes parents. Ils habitent dans une petite ville campagnarde. Il fait beau, le soleil se dresse haut dans le ciel. Il fait également une chaleur étouffante. Je suis en boxer sur mon petit lit une place, mais il fait si chaud que je me débarrasse prestement de mon sous-vêtement. Je balance mon boxer sur le lit non loin, où Alphonse dort. Nous partagions cette chambre quand nous étions plus jeune, nous avions grandi à proximité. - Al ? Je grogne, espérant le réveiller. Mais cela ne suffit pas. Il dort profondément, la bouche ouverte. La bouche ouverte... La bouche ouverte. Un feu s'allume dans mon ventre, mon sexe se tend immédiatement. Tandis que ma verge gonfle et s'étire contre mon ventre, je regarde cette bouche, cette cavité qui doit être ...

5. Bois-moi

Alphonse, mon clébard de frère Il fait nuit dehors, je suis au salon avec mon frère. Je regarde la télé. Tout à coup, mon téléphone sonne. Je décroche. — Allô ? Je demande. — Coucou, mon chéri, c'est maman ! Comment vas-tu ? — Je vais bien. Tranquille. — Comment va Alphonse ? Il suit toujours bien ses cours ? Je baisse les yeux vers mon entrejambe où Alphonse suce goulûment ma queue rigide. Il me faisait de merveilleuses gorges profondes depuis près d'une quinzaine de minutes et je n'ai toujours pas craqué. Je ne me suis pas laissé à éjaculer sur sa langue. Je patiente, je laisse monter le désir toujours plus haut. Je veux savoir combien de temps je pourrais tenir ainsi. — Alphonse va bien, je réponds à ma mère. Je veille à ce qu'il aille en cours, ne t'inquiète pas. D'ailleurs, il... il révise en ce moment-même. Il révise la « succion biologique » qu'il m'a dit. Il est très concentré, ça fait plaisir à voir. — Oh, très bien, très bien....

4. Mon clébard de frère

Alphonse, mon clébard de frère Mon frère a compris les règles du jeu ; tant qu'il ne ramène pas de fille à la maison, il est mon esclave. Je préférais le surnommer « clébard » ou « chienne » pour bien l'humilier. Peut-être que l'humilier le poussera à chercher une copine. Cependant, plus les jours passent, moins je sens qu'il cherche une petite amie. — Tu t'es trouvé une copine ? Je lui demande une énième fois alors que nous dînons dans la cuisine. — Non, maître. Il ne cesse de m'appeler maître, il ne m'appelle plus par mon prénom. Il a pris l'habitude de me vouvoyer aussi. — Tu seras mon esclave ce soir alors, je décrète. — Oui, maître. Après le dîner, je l'oblige à se déshabiller. Lorsqu'il est nu, je lui attache la corde autour du cou. À quatre pattes, je le traîne jusque dans ma chambre. Je l'attache au pied de mon lit. Il ne dormira pas sur un matelas ce soir. Il dormira au sol, sur la moquette, comme un chien. Je le lui ...

3. Je serai ton maitre

Alphonse, mon clébard de frère Toute la semaine, Alphonse ne cesse de me demander de lui éjaculer sur le visage. Je refuse à chaque fois, et plus il insiste, plus j'ai envie de l'insulter, de le traiter de tous les noms. Il m'exaspère à ne me demander que ça ! — S'il vous plaît, maître, jutez sur moi ! Me supplie-t-il alors je regarde la télé. Je suis assis sur le canapé et il est à genoux devant moi. Je viens de rentrer de mes cours d'économie et la seule chose que j'ai envie de faire est de me reposer. Mais le petit Alphonse, lui, a d'autres idées en tête. Il veut encore de mon sperme. — Non, crevard, je lui grogne en réponse. — S'il vous plaît, maître, insiste-t-il en faisant la moue. — Non, obsédé ! — S'il vous plaît ! — Non, sac à merde ! Je m'écrie. Tu veux vraiment que je me fâche et te donne une nouvelle fois la fessée ?! — Punissez-moi si vous le désirez. Je sens beaucoup trop d'impatience dans sa voix. — Tu t...